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 « La chaleur du canon c'est comme une symphonie... »

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« La chaleur du canon c'est comme une symphonie... »  _
MessageSujet: « La chaleur du canon c'est comme une symphonie... »    « La chaleur du canon c'est comme une symphonie... »  EmptyDim 1 Mai - 20:05

Qui es tu ?


    Soyons en de bons thermes.. Présentes moi ce que je dois essentiellement savoir.



    ___Dylan Grace Olhsson ft. Mischa Barton. __
      « La chaleur du canon c'est comme une symphonie... »  25i0rgx
      © Maybe Tomorrow

        ___« Your Papers, Please! » __

          ♦️ NOM : Olhsson.
          ♦️ PRÉNOM(S) : Dylan Grace.
          ♦️ SURNOM(S) : Dydy?
          ♦️ NÉ(E) LE : 29 Octobre 1992
          ♦️ À : Lima.
          ♦️ ÂGE : 18 ans.
          ♦️ GROUPE : [ ] Professeurs ; [ ] Gleek's ; [ ] Warblers ; [ ] Vocal Adrenaline ; [X] Lycéens ; [ ] Cheerleaders ; [ ] Sportifs ; [ ] Habitants




      Révèles moi ce que tu es & ce que tu as vécu.

    « La chaleur du canon c'est comme une symphonie... »  116145kobmp

    On a tous un passé... & un présent. Quel est le tien ?
    .


    « Aéroport, aérogare mais pour tout l'or m'en aller... »


    L'odeur du champagne. De l'after shave. Des cigares. Et tous ces bijoux. Ces vêtements classes. Ces faux sourires. Puis ces rires. Ces discussions. D'affaires. D'argent. Adossée contre la rampe de l'escalier, j'observe tous ces vieux friqués passer le seuil de la maison. C'est une habitude. Un quotidien qui me lasse. Alors j'adresse un regard à cette femme là bas. Dans son élégante robe de grand couturier. Avec son allure d'une fierté incontournable. Ma mère. Elle est tel un poisson dans l'eau. Je le vois. Je le sais. Combien de fois a t-elle organisé ce genre de soirée? Je ne les compte plus. Ni les visages inconnus. Je soupire face à son excitation. A cette obsession. Le « Il faut se faire bien voir ». C'est important la réputation. Mais pas autant que le pognon? Ou est-se l'inverse? Je lève les yeux au ciel. Mal à l'aise dans le costume imposé. « Vous êtes aussi ravissante que votre mère. Vous lui ressemblez beaucoup. » Je souris. Rictus amère et hypocrite. « Oh non! Beaucoup de choses nous différencient. Comme le fait que je ne m'envoie pas en l'air avec des comptes en banques ambulant par exemple. » Un hochement de tête. Je laisse mon interlocuteur sans voix au milieu du salon. J'attrape le paquet de cigarettes coincé entre l'élastique de mon bas et ma cuisse. Glisse une Marlboro à mes lèvres. « Du feu? » Je me tourne vers ce timbre suave. D'une sensualité hors norme. Mes prunelles trahissent alors cette facette si taquine de ma personnalité. « Avec plaisir. » Une complicité sans aucun doute palpable. Et nous échangeons un léger ricanement enfantin. « Qui sera notre beau-père cette nuit? » Je dévisage l'assemblée avec attention. Puis hausse les épaules. « Toujours le même mystère. » Je m'accoude contre le meuble. Exaspérée par tout ce bruit. Par tout ce superficiel. « Dylan! Combien de fois t'ai-je demandé de ne pas fumer! » Le petit tube de papier m'échappe malgré moi. Tandis que ma mère me fusille de ses iris azurs. « Carmen, tu pourrais surveiller ta soeur un peu. Mince, alors! » L'intéressée secoue la tête. « C'est vrai. Voyons Dylan! Que va penser toutes la petite bourgeoisie, hein? » Je ravale mon amusement, devant cette sincère ironie. Visiblement agacée, notre mère tourne aussitôt ses talons à cinq cent dollars. « Papa, me manque... » Carmen plonge ses doigts à travers mes cheveux blonds. Tendre. « A moi aussi. Mais on ne peut rien contre la maladie. Tu le sais bien. » J'acquiesce. Résignée depuis longtemps maintenant. « Aller, viens. Kathryn et Courtney nous attendent. Boite, ce soir! » Un sourire se peint sur mes traits. Et, discrètement, nous quittons le domicile familiale pour une nuit de débauche et d'insouciance...


    « La chaleur de l'abandon, c'est comme une symphonie... »


    « Shhht! » L'index de Carmen se plaque contre mes lèvres. Tandis que je tente de contrôler l'euphorie qui me grise. Mes rires sont dignes d'une enfant. Douloureux souvenir d'antan. Maladroitement, sa poigne m'aide à gravir les marches de l'escalier. Escalier qui, m'apparaît à l'instant semblable à une montagne. Les lieux sont silencieux. Plongés dans une pénombre certaine. Seuls les ronronnements endormis de notre mère démontre que la vie existe encore ici. Carmen grandit ses yeux pâles. Il ne faut pas faire de bruits. Surtout, ne-pas-faire-de-bruits-! Si maman découvre que nous sommes sorties en douce. Et qui plus est que l'on est... ivre? Enfin. Que je suis îvre... Je n'ose imaginer la suite. Très vite, mon attention se porte sur les décorations de ma chambre. Les célébrités sur les posters semblent onduler. Se fondre en une vague de couleur chaire moucheté de brun. Alors je me plante devant l'un d'entre eux. Hypnotisée par cette nouvelle perception. « Carmen! Carmen regarde! » Elle accourt comme si une bombe était sur le point d'exploser. Capture ma bouche derrière la paume de sa main. « Moins fort! Tu vas réveiller, maman! » Je grimace. Fillette prise en faute. Acquiesce d'un faible hochement de tête. Désolée... Les mots ne sortent pas. Mais l'idée est là. Enfin... je crois? Me voilà désormais poupée chiffonnée. Mes vêtements me quittent. D'autres me trouvent. Et de l'eau glacée sur mon visage en feu. Je ronchonne. Mais j'opine. Je n'ai pas la force. Ni même l'envie de rétorquer. Je suis fatiguée. Exténuée. Même si les flammes toujours de l'excitation. Même si la musique aux notes endiablées à mes tempes. Je me glisse sous les draps. Soupire. La pièce tourne. Mes songes y imprègnent les contours. Je ferme les paupières. Mon corps... tombe en poussière. « Ça va?... » Le timbre inquiet de Carmen. Penchée vers mes traits. « Oui... » Ce n'est qu'un doux murmure dans l'obscurité de la nuit. « C'était une bonne soirée. » Je souris. Je crois. Bien que j'ai l'impression de n'avoir aucune réaction. « C'était une bonne soirée... » Son baiser effleure mon front. Je redresse le menton. « A demain... » La lune n'est plus blanche. La terre ne tourne plus rond. « Bonne nuit... » Je chuchote. Ma voix se meurt. Et moi... avec?... Son souffle contre ma bouche. Mes prunelles bleutées au fond des siennes. Une lueur au loin. A travers l'enveloppe charnelle. Comme un désir. Un imaginaire. Un plaisir. De l'envie, le cimetière. L'indicible. Mon coeur s'emballe. Mon coeur... se fâne?... C'est une destruction intérieur. La lutte tant acharnée des heures. Ne pas craquer. Ne pas ciller. Même si l'émoi. Le ventre et l'effroi. Je me fais violence. Repousser cet état de transe. Mais les barrières s'estompent. Les masques fondent. Mes lèvres emprisonnent les siennes. Ses mains se nouent aux miennes. Voici la potence. L'extrême même des sens. Nos êtres se redressent. Et la chaleur au fond « du moi » qui se dresse. Ma chemise s'évanouit. Avec elle toute forme de pudeur. Puisque sa peau contre mes seins. La brûlure au creux des reins. « J'ai envie de le faire avec toi... » Nos baisers se consument. De cette tendresse que l'on fume. « Je suis amoureuse de toi... » La nuit s'endort demain...


    « Quand je te vois, ça me fait ça... »


    « On... ne doit plus se voir... » C'est... fini? Mais je ne termine pas ces mots là. La force m'a quitté, lorsque tes yeux se sont accrochés aux miens. Les bras balants, je ne sais quoi dire d'autre. Il y a t-il à ajouter? Tes iris noisettes me disent que non. Le silence est précieux. Le silence est... d'or? J'ai peur qu'il se fane sous des paroles inutiles. Qu'il ne se noircisse derrière des illusions perdues. Alors je scelle mes lèvres. Tête baissée. Pourquoi... est-ce si... difficile?... Pourquoi... l'âme me fait si mal?... Après tout, c'est moi qui fuie. Moi qui brise une aile si fragile. Mais... il fait si noir... Et... je ne suis prête encore. A ouvrir les pans de marbre sous l'enveloppe. A fondre la glace autour du coeur. C'est un duel, Carmen tu sais... De l'amour contre la nature profonde. Malheureusement... le vainqueur n'est pas celui espéré. Malheureusement... je suis mon propre démon. Mes propres tourments. Tu dis qu'il faut du temps... qu'aimer n'est pas un jeu d'enfant... Mais... je sais bien que tu mens... Je sais bien que j'ai froid... dedans... Tu n'as pas l'air surprise cependant. Tu me contemple avec ce regard d'une intensité si familière. Tu le savais au fond... que je ne tenais qu'à un fil. Que nous étions en perpétuel désiquilibre sur la lame du rasoir. Je le devine à ta manière de jeter un coup d'oeil vers le sol. A ta manière de remettre derrière ton oreille une de tes mèches blondes. Ce n'est pas une surprise pour toi. Peut être... une de mes nombreuses folies? Celles dont tu as subis les conséquences. Mes indécisions. Mes doutes. Et mes crises d'angoisses. Seulement... ce n'est rien de tout ça aujourd'hui. Tout est si différent. Je pars vraiment... Je... fuis?... Trop de brûlures, pour peu de bonheur. Tu le sais, Carmen... N'est-ce pas? Partir. Revenir. Partir. Revenir encore. Puis... partir enfin. Il le fallait, tu ne crois pas?... Cela devait arriver... La moralité. Le conventionnel. Deux grands mots. Que l'on avait oublié. Malgré... les sentiments... l'amour qui fait mal. C'est ça enfin de compte. Nous. Un amour qui fait mal. Un amour qui... détruit?... Trop de jalousie. De possessivité. De filles d'une nuit. Et ma noirceur innée. Mes névroses. On se sera aimée à contre sens souvent. On se sera perdue tout le temps. Mais ce n'est pas toi dont les larmes coulent pourtant. Les miennes sont amères. Les miennes... sont un acide sur ma peau. Je me désintègre dans ma propre substance. Ne vois-tu pas comme je t'aime, Carmen? Comme je crève de ne savoir de quelle manière le faire! Aucun sons ne m'échappent cependant. Je m'emmutisme... ça n'a pas de sens peut être.... Mais ça en a pour moi. C'est ça le principal? Non? Les âmes faites pour être ensemble finissent toujours par se retrouver, dit-on. Alors... ce n'est pas un adieu, Carmen? Mais... un au revoir?... Tu crois?... Peut être pourrai-je me soigner de cette façon... Peut être que... lorsqu'on se retrouvera... je serai enfin guérie de l'ombre?... M'attendras-tu au bout du chemin? Ou... as-tu déjà perdu patience? Je te promets des efforts. De m'accrocher tout au long de ce périble... Mais attends-moi à la sortie... Attends-moi... Attends... nous?... Je t'attendrais... Je crois... Je t'attendrais au bout du quaie... C'est... une promesse?... Je ne sais pas les tenir, pourtant... Tu le sais, hein?... Tu les connais bien... « J'arrêterais la cocaïne. ». Elle aussi, elle s'est évanouie... Si je quitte notre bulle... c'est pour toi Carmen... Uniquement pour... ne pas briser ce qu'il y a de beau en toi... Pour toi... Tes lèvres une dernière fois contre les miennes. Au revoir... Carmen... Ta silhouette se fait plus petite déjà. Tes longues jambes encore un peu. Ta démarche gracieuse et élégante. Puis... le vide...


    « Nos vies sont des larmes d'aquarelles... »



    Chère Carmen,


    Voilà désormais une année que tu n'es plus. Que... nous ne sommes plus? J'ignore ce que tu deviens. Ni où tu te trouve à l'instant même où je dépose ces quelques mots. Je prie simplement le ciel pour que tu ailles bien. Pour... que la vie te soit... simple?...
    Ici rien n'a changé. Il y a toujours maman et ses soirées de petite bourgeoise. Mais... tu n'es plus là. Il ne reste que moi. Pour la mettre hors d'elle. Ce qui n'est plus réellement difficile depuis quelques temps. Je n'en fais qu'à ma tête. Elle est sous anti-dépresseurs. Toutes les deux nous l'avons grignoté lentement. Je la ronge jusqu'à l'os à présent. Elle dit que c'est de ta faute. Que c'est toi. Qui m'a rendu aussi instable. Alors je suis obligée de voir cette conseillère au lycée. Elle n'a jamais compris ce qui nous liait, de toute manière. Ni même encore aujourd'hui. Et c'est pour cela... que tu es partie. Que je... Je n'avais pas le choix, tu sais. A l'époque... je n'avais que seize ans. Et toi, si fière de porter tes dix neuf ans. C'était ça... Ou elle m'envoyait là-bas. Chez les Bonnes Soeurs. Dans un couvent. Je ne te l'ai jamais dis. Peut-être ne devrais-je pas le faire... Mais comment aurai-je fais dans cet endroit?... Comment?... La peur a pris le dessus... Alors... que je t'aimais plus que... Que je t'aime toujours plus que ma propre vie... Je donnerais tellement pour... pour que tu reviennes... pour... Mais tu n'auras sûrement jamais cette lettre. Puisque... je ne sais pas où tu... Et je sais que maman t'a menacé de ne pas revenir... Comment... Tu me manques, Carmen... Tu me manques tellement que...
    Qu'importe...


      L'ignorance n'est qu'un état temporaire. L'on ignore jamais longtemps comment sont les gens...



      « La chaleur du canon c'est comme une symphonie... »  360268caractere


      ___Montres nous ce que nous ne voyons pas toujours. __
      « Je n'aime pas parler. Pourtant, ce n'est pas faute d'aimer les mots. Au contraire. Je les aime de toute mon âme. Seulement, j'ignore comment les prononcer. De quelle manière les employer, lorsque je dois m'adresser directement à quelqu'un. De toute manière, rares sont les personnes qui réussissent à me comprendre. Je n'ai en réserve que des demi-mots. Je ne connais pas les longues phrases. Certains diront que je suis mystérieuse. Peut être après tout. Bien que, je n'ai pas l'impression de l'être réellement. Même si, il est vrai que je reste très discrète. Inexpressive. Un jour on m'a dit que cette façon de paraitre à côté du monde, des autres, donnait l'envie d'apprendre à me connaitre. De creuser afin de savoir ce qu'il y a en dessous. Jusque là, personne n'est encore parvenu à une telle chose. Et, je crains que cela ne se produise jamais. Je n'ai que très peu de proches. La solitude est une amie bien plus fidèle, à laquelle je peux accorder ma confiance. Elle en est la seule bénéficiaire. Ou peut être est-se une certaine pudeur de ma part. D'une certaine façon, j'ai toujours crains la nature humaine. La trahison est une chose que je redoute plus que tout. Ensuite, je ne pense pas que quiconque apprécie l'obscurité visible de ma personnalité. Je ne souris que très rarement. Beaucoup trop de pensées m'occupent chaque jours. Trop de petites névroses ou d'angoisses. Un psychiatre affirmerait sans doute que je ne suis qu'une femme tourmentée. Mais par quoi? Ou, par qui? Parfois, je croirais presque ne pas être normale. Mais, qu'est ce la normalité me direz-vous. Surement tout le contraire de moi.
      Malgré ce côté un tantinet effacé de ma personnalité, je reste possédée par l'un des péchés capitaux. L'orgueil. Même si ma vie devait en dépendre, jamais je n'aurai besoin de personne. Je saurais. Je pourrais me débrouiller toute seule. Et ce, dans n'importe quelle situation. D'ailleurs, je me montre généralement très impatiente, lorsque je ne parviens pas à mes fins. Mais cela n'est qu'un détails.
      Cela dit, le peu qui ont franchis une des nombreuses barrières imposée peuvent témoigner. La douceur et la sensibilité dont je fais preuve peut être déstabilisante. A première vue, il est impossible d'imaginer une telle tendresse de ma part. Sans oublier cette subtile provocation, séduction avec laquelle j'aime jouer. De façon très tactile parfois. Peut être trop. Comme quoi, les apparences sont généralement trompeuses. C'est pour cela que l'on me dit: paradoxale. Puisque mon libertinage chronique et mon instabilité n'auront cesse de surprendre. 'Sans limite' me dit-on souvent également. En effet. Je fais. Je dis. Ce que je veux? Disons que ma franchise ou encore ma sincérité devraient parfois être canalisées. Cela m'éviterait bien des situations gênantes. Bien qu'elles ne le sont généralement que pour mon interlocuteur.
      Mais, je peux les comprendre. Il est difficile de me cerner. Voir, totalement improbable. Je suis un animal. Un animal sauvage. Ma soeur me le répétait souvent. Et, personne n'a encore trouvé la bonne façon pour m'apprivoiser. Peut être que cela n'arrivera jamais... »





      Le créateur aussi a droit à une petite présentation.



      « La chaleur du canon c'est comme une symphonie... »  253283createur


      ___Je te vois. Mais dis-en moi plus. __
      Eh bien... nous voilà prêt pour une petite présentation personnelle. Alors... je m'appelle Cindy. Et je suis une toute nouvelle majeure. J'ai découverts le forum en surfant sur le net. Cela faisait un petit bout de temps que je cherchais un somptueux forum sur Glee. Et... voilà? (x





      Tu ne pensais pas t'en tirer aussi facilement j'espère...



      « La chaleur du canon c'est comme une symphonie... »  502275codes


      ___On passe tous par là... J'espère que tu as lu le règlement & le contexte. __
      Code du règlement : Validé ;D
      Code du contexte :
      Validé aussi Very Happy






Dernière édition par Dylan G. Olhsson le Lun 2 Mai - 11:59, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: « La chaleur du canon c'est comme une symphonie... »    « La chaleur du canon c'est comme une symphonie... »  EmptyDim 1 Mai - 22:09

Bienvenue parmi nous Dylan Very Happy Very Happy J'espère que tu te plairas bien ici Very Happy Bon courage pour le reste de ta fiche Wink
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MessageSujet: Re: « La chaleur du canon c'est comme une symphonie... »    « La chaleur du canon c'est comme une symphonie... »  EmptyDim 1 Mai - 22:19

    Haaaaan Jayma Mays *.* *baaaave*
    Ouh! Je sens que Dylan va avoir souvent l'envie de se confier.. *SORT!* ('x


    Merci Jolie Demoiselle! (:
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MessageSujet: Re: « La chaleur du canon c'est comme une symphonie... »    « La chaleur du canon c'est comme une symphonie... »  EmptyDim 1 Mai - 23:02

Mdrrr mon bureau est toujours ouvert pour les élèves qui cherchent à se confier Very Happy Rolling Eyes

De rien Very Happy Et je te renvoie le compliment Razz
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MessageSujet: Re: « La chaleur du canon c'est comme une symphonie... »    « La chaleur du canon c'est comme une symphonie... »  EmptyLun 2 Mai - 12:00

    C'est toujours bon à savoir Rolling Eyes .


    Voilà! Il me semble avoir terminé ma présentation (:
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MessageSujet: Re: « La chaleur du canon c'est comme une symphonie... »    « La chaleur du canon c'est comme une symphonie... »  EmptyMar 3 Mai - 12:11

Tout m'a l'air bien (et j'adore comment tu écris Very Happy Very Happy), mais je vais attendre que Quinn donne son avis pour te valider ^^ Je t'ajoute quand même à ton groupe et je te donne ton rang Razz J'ai hâte de te voir dans mon bureau cheers Encore bienvenue Dylan Very Happy Very Happy
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MessageSujet: Re: « La chaleur du canon c'est comme une symphonie... »    « La chaleur du canon c'est comme une symphonie... »  EmptyMar 3 Mai - 12:28

    (Huhu. Merciii *rougit*)
    D'accord (:. J'attends patiemment alors *.*
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MessageSujet: Re: « La chaleur du canon c'est comme une symphonie... »    « La chaleur du canon c'est comme une symphonie... »  EmptyMar 3 Mai - 16:15

Bienvenue Dylan !
Amuse toi bien parmis nous Very Happy
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MessageSujet: Re: « La chaleur du canon c'est comme une symphonie... »    « La chaleur du canon c'est comme une symphonie... »  EmptyMar 3 Mai - 20:31

Si tu es une alcoolique, on va bien s'entendre XD. Dans mon histoire le pere de mon personnage est viticulteur et mon personnage succombe beaucoup au champagne *µ*
(telle personnage, telle auteur U_U)
Je sens que toi et Misato vous allez vraiment vous comprendre pour l'amitier, la confiance et la trahison.

Telle Personnage, telle auteur =) moi aussi j'ai fait une presentation personnelle.

En tout ca, Bienvenue =)
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MessageSujet: Re: « La chaleur du canon c'est comme une symphonie... »    « La chaleur du canon c'est comme une symphonie... »  EmptyMar 3 Mai - 21:00

    Merci Sam (:

    Ouh! Il n'y a pas de raison qu'elles ne s'entendent pas ^^. Pourquoi pas copines de champagne et d'aveux un peu ivres? (x

    Merci (:
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MessageSujet: Re: « La chaleur du canon c'est comme une symphonie... »    « La chaleur du canon c'est comme une symphonie... »  EmptyMer 4 Mai - 16:49

Tu es validée Very Happy Bon jeuuu cheers
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MessageSujet: Re: « La chaleur du canon c'est comme une symphonie... »    « La chaleur du canon c'est comme une symphonie... »  Empty

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